24/09/13 - L'ETRANGE ZONE
DU SILENCE MEXICAINE, ET LES CRASH UFO...
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Pyramides de Bosnie sur le même parallèle |
Elle
partage sa localisation entre ces deux parallèles avec d'autres zones mythiquement
célèbres comme le triangle des Bermudes, la pyramide de Gizeh, en Égypte, les villes
sacrées du Tibet et la base de Cap Canaveral ou Cap Kennedy, siège de la NASA , aux Etats-Unis.
Elle
a été remarquée la première fois dans les années 1930 par Francisco Sarabia, un
pilote mexicain qui a prétendu que sa radio avait mystérieusement cessé de
fonctionner lorsqu'il l'avait survolée. Par la suite, d'autres personnes
auraient signalé une disparition des signaux radio et des « pannes de boussole
» lors de la visite du secteur, qui attirerait de plus les météorites et
susciterait divers problèmes mentaux chez les visiteurs.
Cette
zone se situe sur la même parallèle que le Triangles Des Bermudes et que les
grandes pyramides de Gizeh.
Des
aberrations magnétiques rendent les communications radios impossibles dans
certaines parties du secteur, ce qui est officiellement connu sous le terme
Vertice de Trino : l'endroit où les
frontières des trois états mexicains de Durango, Chihuahua et Coahuila se rejoignent
entre le 36° et le 38° parallèle.
Afin
de décourager tout bavardage paranormal, les scientifiques mettent souvent
l'accent sur les fascinantes anomalies biologiques découvertes par les
chercheurs à cet endroit : d'étranges
reptiles et une végétation unique à la région, région qui se trouvait submergée
il y a très longtemps, comme le prouvent les fossiles marins que l'on peut
trouver éparpillés sur les lieux.
Il
est intéressant de noter que certains sites web officiels n'hésitent pas à
mentionner la légende surnaturelle qui s'est formée autour de la Zone du Silence, telle que la
croyance qu'une région avec les mêmes caractéristiques doit exister quelque
part, de l'autre côté du monde, perdue en Asie centrale, un endroit où les «
énergies terrestres » se concentrent.
La
pleine conscience de la Zone
du Silence en tant qu'anomalie a vu le jour au début des années 1970. Le
professeur et journaliste mexicain Santiago García, habitant à Torreón dans
l'état de Coahuila, décida de se rendre dans cet endroit bizarre pas loin de
chez lui (à environ 95 km )
et de rédiger un des premiers articles disponibles pour le lecteur profane.
Le
Pr Garcia, citant les recherches disponibles à l'époque, mentionna qu'un cadre
de la NASA – le
Dr. W. Richard Downs – avait marqué les cartes de la région de Ceballos d'un X
à cause du fait que le mouvement planétaire de la Terre produisait « une
tornade électronique qui entrave la libre transmission des ondes hertziennes »
dans des endroits comme la Zone
du Silence tout en attirant des particules métalliques d'origine extraterrestre, comme l'attestent
les presque régulières chutes de petites billes métalliques dans le secteur, phénomène connu localement
sous le nom de « guíjolas ». D'où son importance pour les chercheurs.
De
plus grands objets ont aussi été attirés par le charme inexplicable de la Zone du Silence. Aux premières heures du 8 février 1969, l 'obscurité
désertique se transforma en lumière aveuglante
quand une énorme météorite dégringola vers le hameau de Pueblito de Allende.
Les habitants comparèrent la blancheur
actinique de la météorite en feu à « regarder dans une ampoule ». L'impact de
l'objet provoqua une onde de choc massive qui produisit le son le plus fort
jamais entendu dans la région depuis que l'homme moderne l'occupe. La météorite
d'Allende, comme on la connait maintenant, est la plus grande des particules
attirées vers cette région du monde.
Des
ovnis dans le désert...
Certains
des premiers rapports d'observation d'ovnis dans la région remontent à des
incidents qui se sont produits lors de la Révolution Mexicaine
(1910-1921). Un de ces récits, compilé dans le Los Ovnis en Mexico (Posada,
1972) du Pr Garcia, vient d'un paysan, Matías López, 79 ans à l'époque de
l'écriture du livre, qui se souvenait avoir vu des boules de feu dans le ciel
au-dessus de San Pedro, Coahuila, alors qu'il avait seulement 15 ans.
Ses
aînés disaient que les boules de feu étaient « les feux de la fin du monde »
qui consumeraient entièrement notre planète, en accord avec certaines croyances
religieuses. Des bolides similaires ont été rapportés ailleurs au Mexique, même
par des militaires, comme l'atteste l'incident de 1967 impliquant le navire de
guerre Guanajuato.
«
Mais comme ça s'est passé, le monde n'a pas fini », dit le vieux fermier à
Garcia, « et les boules de lumière ont continué à apparaître. Je m'y suis
habitué car je les voyais la nuit quand je rassemblais les vaches pour les
mettre à l'étable. Certains faisaient le signe de croix et d'autres courraient
chez eux mais moi je restais tranquille dans le champ à regarder ces choses
plutôt jolies à voir. »
Quant
à la taille des objets, Lopez indiqua une taille apparente de 12 m , de couleur rouge allant
vers le jaune et émettant des « jets » d'étincelle partout. « Elles allaient en
haut et en bas, montaient et descendaient et elles faisaient beaucoup de bruit.
De petits sifflements et puis de gros fracas, comme la foudre ».
En
octobre 1970; le Pr Garcia interrogea Guadalupe Becerra, une jeune témoin de la
haute étrangeté locale, dans la ville de La Goma , Durango. La jeune fille de 12 ans lui dit
qu'il y avait toujours des phénomènes lumineux dans la région : « j'ai vu une
lumière brillante dans le ciel, ça ressemblait à une roue.
Elle
est venue petit à petit vers la montagne qu'on appelle La Ballena et la lumière
était si forte que j'ai dû fermer les yeux car ça me brûlait. Cette chose est
descendue petit à petit au-dessus de la montagne et elle est restée là un
moment. »
L'objet
est devenu plus brillant et a filé rapidement dans le ciel, devenant plus petit
« comme une étoile et je ne l'ai plus revu ». Un phénomène similaire à celui
décrit par Becerra s'est produit 37 ans plus tard à Maxala, Guerrero, à des
milliers de km de là.
Une
observation d'ovni vraiment
spectaculaire fut rapportée un soir de septembre 1976 vers 20h59 quand les
habitants de Ceballos remarquèrent la présence écrasante d'un objet géant à la
périphérie de leur communauté. Au moins deux douzaines d'habitants se
rassemblèrent dans la rue principale de Ceballos pour regarder « l'appareil »
suspendu en l'air, comme s'il attendait un signal.
La
funeste machine, si c'en était une, fut estimée à 300 m de long avec une forme
globale rectangulaire. Des lumières entouraient l'objet, qui allaient du vert
au blanc en passant par le bleu, pulsant au rythme d'un bourdonnement sourd
émanant des profondeurs de ses entrailles.
L'effrayante
situation fut empirée par les chiens de la ville qui se mirent soudain à hurler
et aboyer à l'unisson. Jose Madero, un vieil habitant décidément vaillant,
pensa que l'intrus devait être un ballon ou un dirigeable quelconque et s'en
approcha. Il le décrivit comme étant de couleur argentée vu de près, presque
comme de l'acier. Finalement l'objet s'éleva et se dirigea vers la Zone du Silence.
Les
gens sont étranges quand vous êtes un étranger…
L'étrangeté
ne se limite pas aux objets observés dans le ciel par les éleveurs et les
fermiers du désert. En 1975, un couple entreprenant conduisait dans la Zone du Silence dans un tout
nouveau pickup Ford pour ramasser des fossiles et les cailloux inhabituels que
l'on y trouve à profusion.
Alors
qu'ils s'affairaient, ils remarquèrent qu'une pluie torrentielle se dirigeait
vers eux. Espérant éviter de se trouver pris sous le déluge, ils grimpèrent
sagement dans leur véhicule et se dépêchèrent mais pas assez vite pour éviter
la pluie implacable. Le chemin au devant d'eux se transforma en marécage, le
pickup fut rapidement pris au piège et s'enfonça dans le terrain meuble.
Tandis
que le couple luttait pour empêcher leur véhicule de s'embourber, deux
personnages s'approchèrent d'eux, leur faisant signe de la main à travers la
pluie torrentielle. Deux hommes extrêmement grands en ciré jaune avec une drôle
d'allure, mais rien d'alarmant, offrirent leur aide pour les remettre en route.
Les
hommes demandèrent au couple totalement trempé de remonter dans le véhicule
pendant qu'ils poussaient. Avant que le couple ne s'en aperçoive, leur pickup
était sorti du trou et se trouvait sur la terre ferme. Quand le mari sortit une
nouvelle fois pour remercier les deux hommes, ils n'étaient plus là. Il n'y
avait aucune empreinte et rien qui aurait pu cacher leur départ.
Les
gens qui traversent la zone rapportent régulièrement voir d'étranges lumières
ou des boules de feu manoeuvrer la nuit, changer de couleur, rester immobiles
et puis filer à toute allure. Deux fermiers qui rentraient d'une fête virent
une lumière brillante descendre du ciel et déverser ses occupants humanoïdes,
qui brillaient de la même lueur effrayante et marchèrent vers eux. Les fermiers
déguerpirent en vitesse.
On
peut trouver des traces physiques de ces visites nocturnes…
Un
témoin retourna un matin à l'endroit où il avait vu de mystérieuses lumières
faire des cabrioles la nuit précédente et découvrit que les broussailles «
avaient été brûlées ». On compte des douzaines de récits semblables en
provenance de la zone, et de la part de témoins fiables.
La
tendance sceptique grandissante en recherche ufologique tend à délaisser ces
cas intéressants en faveur d'autres qui présentent clairement un aspect
militaire ou gouvernemental. La
Zone du Silence peut également en offrir : en été 1970, une
roquette Athena décolla de la base de l'US Air Force à Green River en direction
de la base de lancement de missile White Sands au Nouveau Mexique.
Le
lancement au départ ordinaire devint bientôt source d'inquiétude quand le
projectile dévia soudain de sa trajectoire comme s'il était attiré par une
force externe, obligeant les contrôleurs à annuler la mission à mi-vol,
espérant que la roquette plongerait dans le désert, du côté américain de la
frontière.
L'ordre
de « tuer » les étages du projectile aurait pu fonctionner mais le dernier
étage, qui portait la charge utile s'activa de lui-même pour une mise à feu de
4 secondes qui l'emporta tout droit vers la Zone du Silence.
Un
état d'alerte s'ensuivit et une mission de récupération fut ordonnée, peut-être
avec plus d'empressement que d'habitude car l'Athena portait une charge utile
inhabituelle et controversée.
Des
années plus tard, il fut révélé que la pointe avant était remplie de cobalt,
soi-disant pour tester les conditions de rentrée atmosphérique. La
préoccupation initiale tournait autour de la possibilité qu'un signal radio
avait délibérément fait dévier le projectile, mais aucune interférence de ce
type ne fut jamais découverte.
La
possibilité que la roquette de 6 tonnes et sa charge radioactive puisse
s'écraser sur la population aux États-Unis ou au Mexique était bien trop
horrible à contempler. Assistés par des cavaliers et des fermiers du coin, une
équipe de récupération de l'Air Force, envoyée de White Sands entra dans la Zone du Silence pour
récupérer l'objet. Étant donné le terrain de la Zone et son étrangeté globale, la charge
capricieuse fut finalement localisée depuis les airs : un appareil de vol à
basse altitude équipé de scanners à radiation la découvrit finalement près du
promontoire connu sous le nom de Cerro San Ignacio.
Ce
fut précisément cette lecture de haute radiation dans le secteur qui suscita un
incident encore plus étrange.
Le
gouvernement mexicain demanda que l'Air Force enlève toutes traces de débris,
jusqu'au sable même du cratère de l'impact. Transporter des tonnes de sable
irradié par camion étant complètement infaisable, des mesures plus extrêmes
furent prises : une voie ferrée dédiée fut construite jusqu'au site du crash où
de gros chargeurs frontaux pouvaient remplir facilement les wagons !
D'autres
sources prétendent que le sable fut en fait déversé dans des milliers de gros
fûts qui se trouvent maintenant quelque part sur le territoire américain, soit
oubliés, soit plus probablement associés à une improbable histoire de «
récupération de soucoupe volante ».
Source
: Inexplicata / Scott Corrales, Institute of Hispanic Ufology /Traduction :
Maat
Cette
zone du silence est tout de même assez spéciale, notons le…
Les
enregistrements au magnétophone s'altèrent, les pluies de météorites sont
incessantes, la flore et la faune croissent de façon peu commune suivant des
mutations uniques en leur genre, les boussoles s'affolent et perdent le nord,
les vaches viennent y agoniser comme dans un cimetière d'éléphants et, pour
finir, plusieurs témoins affirment y avoir vu des soucoupes volantes et même
rencontré des extra-terrestres.
Etrangement
le siège de la NASA
est situé lui aussi entre les mêmes parallèles !
Une
situation géographique prédestinée, entre les parallèles du triangle des
Bermudes et de la pyramide de Gizeh, la "zone du silence" se situe
entre les parallèles 26 et 28, dans un lieu baptisé le Vortex de Trino.
Elle
partage sa localisation entre ces deux parallèles avec d'autres zones
mythiquement célèbres comme le triangle des Bermudes, la pyramide de Gizeh, en
Égypte, les villes sacrées du Tibet et la base de Cap Canaveral ou Cap Kennedy,
siège de la NASA ,
aux Etats-Unis.
Ce
qui tombe du ciel dans la zone du silence…
Si
la zone est capable d'attirer plus de météorites qu'aucune autre sur la Terre , incluant les corps
célestes les plus énormes comme la fameuse météorite d'Allende, prétendue
intelligente pour avoir changé de trajectoire afin d'éviter une collision
imminente avec la sonde spatiale soviétique Venus-5, elle attire aussi les
bolides en tout genre, jusqu'aux navettes spatiales américaines.
Les
habitants du ranch Chupadero, en 1938, furent témoins de la chute d'un énorme
bolide qui fut localisé tardivement et estimé d'un poids de 14 tonnes.
En
1975 s'écrasa un météore d'un poids de dix tonnes aux environs du même ranch.
Dans l'hacienda de Morito, près du village d'Allende, on en trouva un de sept
tonnes.
Le
11 juillet 1970, un an après la chute du météore d'Allende, partait le
missile Atena de Green Rive dans l'Utah, et qui se dévia de plus de 1000 km de sa course
originale pour venir s'écraser dans la "zone du silence", comme
attiré par un aimant.
Les
investigations de l'Institut technologique des études supérieures de Monterrey
ont démontré une haute incidence de radiation cosmique dans cette région, ainsi
que l'incidence des rayons solaires qui y est 35% plus forte que dans n'importe
quelle autre endroit du globe.
Pour
les mêmes raisons que la carapace des tortues mutantes de cette région, est de
couleur et de constitution uniques au monde, avec de jolis dessins en forme
d'hexagone, à leur suite, des tribus de lézards, de serpents, de reptiles et
d'insectes en tout genre vivent chacun une mutation particulière et unique au
lieu. Celle-ci affecte également les lièvres du désert, les rats, les coyotes,
et toutes les espèces animales propres à la région.
Quant
aux cactus, en majorité des nopales violacés brûlés par les vents solaires, ils
ouvrent le défilé aux mutations des arbustes tels que les yucas, candelillas,
et mezquites.
Cet
endroit du globe, endroit du globe, serait à l'origine de cette mutation qui
forçe ces tortues à développer des yeux jaunes, filtres naturels qui les
protègent des rayons ultra-violets.
Cette
zone circulaire du silence aurait un diamètre de 300 km !
Voici
un épisode de Chasseurs d’ovnis, qui
justement enquête dans cette étrange zone.
Selon
les rapports de renseignements Mexicains, deux
incidents de nature OVNIs se sont produits dans cette région isolée du
Mexique, à 33 ans d'intervalle.
Les
deux sites ont été immédiatement interdits d'accès, puis fouillés par les
militaires qui ont par la suite nié l'existence de toute manifestation
inhabituelle.
Etonnament,
il resterait encore des preuves du passage des Ovnis sur les 2 sites
d'écrasement. Ces sites seraient-ils la clé du mystère entourant les Objets
Volants Non-Identifiés ?
PHILIP COPPENS , décédé le 30 Décembre, 2012.
Philippe était un chercheur renommé et auteur qui a enquêté sur les mystères du
monde antique et de l'ésotérisme. *
Je recommande
toujours les articles de Philippe Coppens à tous, pour tout savoir sur les pyramides
bosniaques
Vidéo Anglais : http://www.youtube.com/watch?v=hEUIGeJlPqE
LES PYRAMIDES DE BOSNIE ONT
25 000 ANS
Tels
sont les résultats du test au radiocarbone sur les pyramides de Bosnie découvertes
par le Dr.Sam Osmanagich, membre de l'Académie russe des sciences naturelles, archéologue
et chercheur en chef du projet. Il est également
professeur d'anthropologie à l'Université américaine de Bosnie-Herzégovine.
Récemment,
il a été signalé que le centre de la Pyramide du Soleil émet un «signal électromagnétique
de 28 kilohertz" avec un rayon de 13 pieds . Le Dr.Osmanagich, le chercheur et ingénieur Christopher Dunn, et
le journaliste d'investigation Philippe Coppens, pensent qu'il s'agit d'un modèle
d'une ancienne technologie à "énergie libre" qui rappelle les recherches
de Nikola Tesla.
Un article de Coppens Page 46
Son site :
http://www.philipcoppens.com/
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